Ainsi, une augmentation, ne serait-ce que de 1% de la productivité du phytoplancton liée à l’activité des baleines, permettrait de séquestrer capture des centaines de millions de tonnes additionnelles de CO2 par an. Soit autant que l’apparition soudaine de deux 2 millions d’arbres matures.
Et ce n’est pas tout. Car les baleines jouent également un rôle non négligeable dans le stockage du CO2. Chaque baleine séquestre 33 tonnes de CO2 en moyenne par an, au travers de son alimentation (phytoplancton) , lorsqu’un arbre séquestre 33 kg de CO2 par ans seulement.
Finalement, une baleine est autant efficace que 1 000 arbres.
Lorsqu’elle meurt. Son corps coule au fond de l’océan, piégeant ce carbone.